Les formes, les hauteurs, les couleurs, les orientations… tout à La Grande Motte tient compte de l’environnement, des spécificités écologiques et météorologiques et bien sûr du bien-être des résidents.
Loin des grands ensembles qui prolifèrent à l’époque, Jean Balladur s’inspire des formes millénaires des pyramides précolombiennes, tout en laissant s’exprimer fantaisie et liberté formelle. Il joue avec l’eau, le vent, la lumière et les effets d’optique pour animer les espaces.
Se promener dans La Grande Motte, c'est faire une véritable balade architecturale !